Comment l'éco-transport participe-t-il à un système de mobilité durable ?

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Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]

La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante : Comment l'éco-transport participe-t-il à un système de mobilité durable?

L’éco-transport regroupe les transports en commun (train, bus, métro, tramway), les vélos en libre-service (« vélo bleu »), les voitures électriques en libre-service (« auto bleue ») et le covoiturage. Nous nous intéresserons plus particulièrement aux Alpes-Maritimes en prenant comme exemple l'Auto bleue et le vélo bleu.

Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]

Lien vers notre dossier de production

Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]


Nous tenons à remercier chaleureusement Monsieur Viffredo, directeur du service déplacements urbains de métropole Nice côte d'Azur

Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]

Comment l’éco-transport participe-t-il à un système de mobilité durable ?

Le département des Alpes-Maritimes est relativement en retard en matière d’infrastructure routière et de transport en commun, d’où la nécessité pour la plupart des habitants de prendre leur propre voiture. Ainsi, la question de mobilité durable devient-elle primordiale en termes de saturation du trafic et de réduction des gaz à effet de serre.

L’éco-transport joue donc un rôle important dans le système de mobilité durable. En effet, il permet aux habitants des Alpes-Maritimes d’emprunter des voitures électriques (système Auto-Bleue) de station en station, ou encore des vélos (système Vélo-Bleu) sur le même principe. Les bus et tramways jouent également un rôle capital pour la décongestion des routes et la régulation du trafic. Enfin, le covoiturage est une solution efficace.

Les principaux défis rencontrés sont ceux de l’adaptabilité du territoire et du fait qu’il faut changer les habitudes des habitants. Leur développement de l’éco-transport ne peut être considéré sous le seul angle technologique et nécessite de mettre en place un environnement économique et social favorable à sa généralisation.

Il est nécessaire de faire cohabiter les anciens et nouveaux moyens de transport. En effet, on ne peut pas étendre l’espace public. Dès lors, on doit installer les systèmes favorisant la mobilité durable au détriment de certaines parties publiques (trottoirs, places de parking, voies de circulation …). Par exemple, à Nice, l’installation de la voie 1 du tramway a contribué à la fermeture de l’Avenue Jean Médecin à la circulation routière.

De plus, il faut inciter les habitants à remplacer leur propre véhicule par un véhicule écologique (auto-bleue, vélo bleu …), les transports en commun (tramway, bus, train …) ou le covoiturage.

En réponse à cela, la Métropole Nice Côte-d’Azur a fortement développé le service auto-bleue (60 parcs de 3 voitures chacun) et a mis en place des mesures incitatives vis-à-vis des véhicules électriques : 2 places de stationnement par parc auto-bleu réservées aux véhicules électriques avec possibilité de recharger gratuitement son véhicule. La ville de Nice est en écoute constante des Niçois pour améliorer le système d’éco-transport. Par exemple, elle a supprimé des stations de vélo bleu à des endroits où cela ne fonctionne pas trop pour en installer là où il y a une forte demande.

Le service vélo-bleu et des vélos à assistance électrique a été développé également : 175 points de stationnement pour les vélos bleus dans la région de Nice, St-Laurent-du-Var et Cagnes-sur-Mer, ainsi qu’une aide de la Métropole de 250€ par achat de vélo à assistance électrique. Le tramway de Nice va également être développé avec la création de deux lignes supplémentaires : une reliant le port de Nice à l’aéroport Nice Côte d’Azur, et l’autre raccordant toute la vallée du Var. En effet, le tramway est un moyen de transport efficace de par sa fréquence (un toutes les 3-4 minutes) et sa rapidité.

Pour ce qui est du dispositif Lignes d’Azur, la Métropole incite fortement les habitants à utiliser les bus et les tramways en utilisant un système de prix très incitatif : 1€ par trajet et une réduction sur le service vélo-bleu si l’abonnement est pris avec l’abonnement Lignes d’Azur (15€ par an au lieu de 25€).

Enfin, les entreprises jouent un rôle essentiel dans l’incitation à l’éco-mobilité puisqu’elles peuvent encourager leurs employés à utiliser l’éco-transport (mise en place d’un service d’auto-partage, incitation au covoiturage, encouragement à l’utilisation des transports en commun…). Vélo-bleu a d’ailleurs mis en place la carte entreprise, destinée aux entreprises pour leur clientèle et leurs salariés dans le cadre de leurs déplacements professionnels.


L’éco-transport soulève de nouvelles questions pour l’avenir : Comment la politique des autorités départementales et régionales va-t-elle évoluer en ce qui concerne les véhicules particuliers au sein des grandes villes ? Comment gérer au mieux cette révolution des modes de consommation qui voit s'opérer un basculement d'une logique de propriété, à celle de l'accès à un service sans détention et appropriation du produit ?


Nos sources :

- http://www.auto-bleue.org/index.php/fr/ - http://www.velobleu.org/ - http://www.nicecotedazur.org/

Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]

1) En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus généralement de la société ?

Caroline Pouyet : Ce cours de sustainable developpement m’a permis d’acquérir une meilleure compréhension du développement durable au sein des entreprises. En effet, j’ai compris l’enjeu du développement durable au sein de l’entreprise et la diversité des questions que celles-ci entrainaient sur la société.

Julie Jobredeau : Ce cours m’a permis de prendre conscience de l’intérêt de mettre en place au sein d’un business une logique de développement durable. Le développement durable n’est plus perçu comme un coût vis-à-vis des sociétés mais plutôt un pari sur l’avenir. En effet, les entreprises ont compris que fonctionner avec des ressources telles que le pétrole n’est pas durable dans le temps (dû à l’extinction de ce type de ressources). Les managers de demain ont besoin de penser au développement durable pour avancer leur projet.

Robin Divies : Ce cours m’a permis de voir le business sous un angle particulier : celui du développement durable.

Lauriane Savaron : Ce cours permet de connaître et de comprendre un panel de problématiques, liées au développement durable, qui nous entourent et auxquelles les entreprises dans lesquelles nous serons acteurs prochainement sont confrontées. Il permet de s’informer sur les actions mises en place et les actions à développer pour faire face aux différentes problématiques. Enfin, nous comprenons l’importance d’intégrer le développement durable dans le management d’entreprise. D’autre part, nous voyons bien que les potentiels contributeurs à ces actions, à savoir la population, la société en générale, sont très peu informés de certaines problématiques qui nous entourent et se sentent parfois très peu concernés. Ceci montre qu’une large sensibilisation reste à faire auprès de la société.

Julie Laforêt : Ce cours nous permet de voir l’importance croissante du développement durable au sein de l’entreprise et du management en général. C’est une préoccupation relativement récente que les nouveaux managers doivent prendre en compte pour être de bons managers. Ce cours nous incite également à lutter et à travailler pour la préservation et le respect des ressources.

Marine Faure : Ce cours m'a permis de comprendre que le monde du business est un univers très complexe. Le développement durable y occupe désormais une place de première importance et ce dans tous les domaines. De nombreuses questions émergentes actuellement et nous devons en prendre conscience. Il est de notre ressort de mettre en place diverses actions pour faire face à ces problématiques. De nombreux acteurs interagissent et doivent collaborer. En parallèle, la société est en transformation perpétuelle ce qui affecte l’environnement et les générations futures. Les problématiques également changent constamment et c’est à ce moment-là que le développement durable entre en jeu. Il s’agit d’une problématique encore très peu connue par la population et qu’il faut désormais répandre.

2)Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?

Caroline Pouyet : J’ai appris comment se réalisait un dossier de production pour effectuer un reportage. Les compétences que j’ai acquise sont le travail en groupe et à monter une interview face à un professionnel.

Julie Jobredeau : J’ai appris à élaborer un dossier de production où il a fallu se projeter dans le temps (penser au montage que l’on voulait avant d’avoir filmé). J’ai également appris à cadrer et filmer des séquences. Du à mon manque de compétence sur le montage vidéo, je pense plus avoir appris sur la forme que sur le fond. Il est vrai que le fond est passé au second plan.

Robin Divies : J’ai appris le mode de fonctionnement collaboratif et comment réaliser un reportage. Nous avons du utiliser la Skem banque et des wikis, ce qui est nouveau pour nous. De plus, nous avons appris comment réaliser un reportage.

Lauriane Savaron : En premier lieu, j’ai appris à travailler sur les logiciels de montage vidéo et son : choisir les scènes, le son et les images, couper des séquences, les ordonner de manière à ce qu’elles soient en cohérence. Je dirais donc, que j’ai développé avant tout des compétences en matière de technologies. D’autre part, j’ai acquis des compétences humaines et de management grâce à la prise de rendez-vous avec un professionnel, la répartition des tâches avec mon équipe et j’ai développé une capacité de synthétisation lors du montage vidéo.

Julie Laforêt : Dans ce cours, nous avons surtout appris sur la forme, et je pense moins sur le fond. En effet, j’ai appris à faire un dossier de production, à utiliser un wiki et le codage internet. Ce cours favorise le travail en groupe et la gestion de projet.

Marine Faure : Dans le cadre de ce cours, j'ai pu apprendre que la réalisation d'un travail de cette ampleur demande la participation de chaque membre de l'équipe mais surtout l'apport des connaissances de chacun. J’ai donc appris à développer le travail collaboratif et j’ai aimé cela. J'ai également amélioré ma connaissance des logiciels vidéo au travers du montage : choix des images, des transitions, etc. J’ai appris des choses plus concrètes, telles que la réalisation du dossier de production, la conduite d'interviews, ... De plus, j’ai également pu découvrir comment mener une interview avec un professionnel.

3)Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris (de vos pairs ? de l’interviewé ? de vos profs ? …)

Caroline Pouyet : C’est une nouvelle méthode d’apprentissage qui nous oblige à être en lien avec les entreprises. C’est un cours concret. C’est grâce au professionnel que j’ai interrogé que j’ai appris réellement quelque chose.


Julie Jobredeau : Cette nouvelle forme d’apprentissage était intéressante à faire, c’était une nouvelle manière d’appréhender le développement durable de manière plus dynamique. J’ai surtout appris de l’interviewé car j’ai participé au tournage de l’interview et c’est à ce moment-là que j’ai vraiment appris l’importance du développement durable au sein de notre société et que c’est quelque chose en perpétuel développement.

Robin Divies : Cette nouvelle expérience d’apprentissage a pris du temps, mais j’ai eu l’impression qu’il n’y avait pas de réel apprentissage par rapport au thème derrière. J’ai le plus appris de la personne que nous avons interviewé sur notre sujet car cette personne développait vraiment la problématique de l’éco-transport dans la Métropole Nice Côte-d’Azur.


Lauriane Savaron : Le cours était intéressant et j’ai aimé travailler sur le projet en équipe. Il permet d’approfondir un sujet qui nous concerne et qui est d’actualité. Le peu de temps qui nous était imparti nous a obligé à travailler vite et bien, en se répartissant le plus de tâches possibles. Cependant, il est frustrant de manquer de temps, j’avais le sentiment de devoir bâcler certaines tâches pour respecter les deadlines, notamment en raison du retard de rendez-vous avec le professionnel que nous souhaitions interviewer. D’autre part, je pense que j’ai appris le plus de choses grâce aux éléments apportés par l’interviewé. Il a su nous captiver sur le sujet de l’éco-transport dans les Alpes-Maritimes, tout en restant sur des problématiques simples et à notre portée. J’ai découvert un grand nombre d’actions entreprises dans mon propre département que j’ignorais !

Julie Laforêt : J’ai trouvé cette expérience enrichissante, car nous sommes en contact direct avec les entreprises. Nous avons une grande liberté, ce qui nous permet d’être originaux et innovants et de choisir un thème qui nous intéresse vraiment. J’ai le plus appris de l’interviewé.

Marine Faure : Cette expérience d'apprentissage est une bonne première expérience. Je n'avais pas vraiment réalisé auparavant un tel reportage. Je me suis rendue compte qu'il est difficile d'arriver à contacter un professionnel et surtout de le rencontrer. Son emploi du temps est souvent chargé et donc pas toujours compatible avec le nôtre. Cependant le délai de réalisation est vraiment trop court et nous avons eu l’impression de ne pas avoir pu approfondir de nombreux éléments. J'ai le plus appris de l'interviewé qui nous a fait partager de nombreuses informations. De plus, il était très intéressant et passionné par son sujet. Il a réussi à nous sa passion. J'ai également beaucoup appris de mes pairs puisque nous avons échangé nos connaissances et partagé nos compétences.

4) A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (inférieur à 25%, entre 25 et 50%, entre 50% et 70%, au-delà de 75%) ? Qu’est ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi ?

Caroline Pouyet : Je n’ai pas souvent utilisé le wiki. Il m’a servi uniquement pour regarder les deadlines (entre 25 et 50%). Ce qui a été le plus utile, c ‘est le tableau qui généralise l’avancement du projet.


Julie Jobredeau :

Je pense avoir utilisé en 25% et 50% des ressources du wiki : essentiellement pour m’informer des deadlines, élaborer une problématique et réaliser un dossier de production.


Robin Divies : J’ai utilisé les ressources du wiki entre 25% et 50%. Le plus utile a été les documents de cession de droit à l’image et les documents types pour réaliser le dossier de production.

Lauriane Savaron : Personnellement, j’ai utilisé environ 55 % des ressources du wiki et les liens associés donc entre 50% et 70%. Le lien le plus utile pour moi a été celui intitulé « créer un reportage audiovisuel » car il m’a donné une base de travail pour le montage vidéo. Il expliquait comment élaborer la vidéo de A à Z en détaillant les plans à utiliser, les types de montage et types d’interview, par exemple. D’autre part, le lien du mur Facebook du cours était utile au début du projet, il a permis de poser beaucoup de questions et d’avoir des axes de réflexion sur la problématique choisie grâce aux réponses des professeurs.

Julie Laforêt : En tant que jardinière, je pense avoir utilisé le Wiki entre 50 et 75%. Le plus utile pour moi ont été les consignes et les aides au jardinier.

Marine Faure : Je pense avoir utilisé les ressources fournies sur le wiki à hauteur de 50% Je suis allée chercher des informations lorsque nécessaire mais le plus souvent notre jardinier s'en chargeait et nous les transmettait par la suite. L’onglet boîte à outils est celui qui m’a été le plus utile puisque de nombreuses choses y étaient expliquées et il y avait également des exemples. De plus, le wiki étant très complet, je n'ai pas pu explorer tous les côtés de la page par manque de temps.


5) Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et intergroupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?

Caroline Pouyet : Ce cours nous a permis encore une fois d’effectuer un travail en groupe. Je trouve qu’on a appris sur la forme (dossier de production, reportage, montage vidéo) que sur le fond. La bourse des compétences est un outil très utile qui permet de développer l’entraide.

Julie Jobredeau : Ce cours a permis de travailler en collaboration avec les membres de mon groupe (partager le travail, échanger nos connaissances…) et en partie avec les autres membres d’autres groupes pour savoir si l’on ne faisait pas fausse route lors de la réalisation du reportage et du montage. Cependant, le système de SKEM banque m’a été peu utile. En effet, j’ai échangé d’avantage de vive voix et sur les réseaux sociaux (Facebook) avec les autres participants.

Robin Divies : Je ne pense pas que ce cours a eu une influence particulière sur mes pratiques collaboratives. Nous n’avons pas vraiment eu besoin d’utiliser la bourse des compétences, nous nous sommes débrouillés entre nous. Les compétences étaient déjà réparties au sein du groupe.

Lauriane Savaron : Dans ce cours, nous avons développé les pratiques collaboratives avec d’autres groupes pour l’échange de SKEM tout d’abord. Les pratiques collaboratives intergroupes se sont développées lors des micros-trottoirs : en effet, nous avons participé à la vidéo d’autres groupes et inversement selon les problématiques que nous connaissions. Ceci a été fait dans le cadre de la bourse de compétences puisque nous nous échangions des SKEM si on aidait un groupe pour ses interviews. A l’intérieur de notre groupe, nous avons mis en collaboration nos réseaux respectifs afin de décrocher un rendez-vous avec un professionnel. De même, nous avons mis en commun nos compétences pour développer le projet selon les agilités de chacun (web, montage vidéo, compétences de rédaction pour l’article). Les compétences circulaient en permanence via un groupe Facebook interne à notre groupe et via le partage de documents (Dropbox, Wetransfer).

Julie Laforêt : Ce cours permet de développer le travail en équipe et la cohésion des membres de l’équipe. La bourse de compétences était à la base une bonne idée, mais dans la pratique, nous n’en n’avons pas énormément profité. En effet, il est plus simple de demander directement à quelqu’un des conseils plutôt que de le faire par la bourse de compétences. Nos compétences circulaient par l’intermédiaire de Facebook, puisque nous avions créé un groupe avec les membres du groupe 71 pour le partage des informations et le rappelle des deadlines.


Marine Faure : Ce cours a développé les pratiques collaboratives intra groupes grâce aux micro trottoirs et à l'interview que nous avons réalisé. Nous avons à chaque étape travaillé en équipe d'où la contribution de chacun au travail final. Pour ce qui est du travail inter groupes, nous avons utilisé la Skembank mais de manière assez limitée. Lorsque nous avions besoin d'une aide ou d'un renseignement, il était plus facile d'aller voir directement la personne qualifiée concernée pour qu’elle nous explique le problème en face à face. Les explications indirectes sont toujours moins claires et souvent moins précises. De plus, nous avons mis en commun nos compétences pour pouvoir rendre un travail de qualité : chacun contribuait au document final en fonction de ses compétences. Les informations circulaient assez facilement et rapidement entre les membres du groupe. Ce cous a aussi facilité la mise en commun des réseaux de connaissances et nous a au final permis d’élargir notre propre réseau.


6)Quelles sont vos critiques et suggestions d’amélioration pour ce cours ?

Caroline Pouyet : Ma principale suggestion est de faire ce projet sur une durée plus longue. Ceci permettrait de rencontrer des personnes diverses pour mieux répondre à notre problématique, d’approfondir nos connaissances en développement durable et créer une réelle dynamique de travail entre les groupes.


Julie Jobredeau : Je trouve que ce cours est une manière très intéressante d’appréhender le développement durable. Cependant, je pense que l’on a été un peu mal orienté quant aux points sur le développement durable qu’il fallait aborder. De plus, je trouve que le temps imparti pour réaliser ce projet était trop court : pour notre projet, il était nécessaire d’interview une administration publique et ça n’a pas été évident pour obtenir un RDV. Je pense donc qu’en 1 semestre c’était un peu juste mais étaler sur 1 an aurait été plus pratique. De plus, un TD ou un cours sur comment faire un montage vidéo nous aurait permis de tous participer au montage (par ce que les vidéos sont un peu longue sur le WIKI et on ne peut pas appliquer en même temps que les regarder)


Robin Divies : L’accent a trop été mis sur la forme et le fait de devoir réaliser une vidéo prend beaucoup de temps ! Je ne pense pas avoir appris par rapport à la performance durable … En revanche, nous avons acquis des compétences en termes de reportage vidéo … Je ne pense pas que ce soit le bon objectif de ce cours.

Lauriane Savaron : Ce cours mérite d’être maintenu car il permet de développer nos compétences dans le Management de Projet en équipe comme la répartition des tâches, le contact avec des professionnels, la gestion des imprévus, la maîtrise des deadlines. Il m’a permis aussi d’apprendre à utiliser des outils techniques que je n’avais jamais vraiment utilisés comme les logiciels de montage vidéo et son. Je pense que pour éviter les frustrations des étudiants, il faudrait rallonger la durée de ce cours sur 3 à 4 mois, afin de laisser plus de temps aux étudiants pour se consacrer entièrement à cette matière, réaliser un reportage qui les satisfasse. Ceci permettrait également de développer les contacts avec des professionnels du sujet traité. Enfin, le rallongement du temps pourrait permettre à tous les étudiants de mieux connaître l’outil wiki car bien souvent seul le jardinier wiki maîtrisait bien cet outil ; pour les autres la maîtrise était plus superficielle.

Julie Laforêt : Je trouve ce cours novateur et intéressant. En revanche, je pense que le format de ce cours ne permet pas de fournir un travail de qualité. En effet, il faudrait que le cours s’étale sur une année entière et pas seulement sur deux mois. Cela permettrait de fournir un travail plus abouti, notamment en ayant une phase de recherche plus complète. Nous pourrions donc choisir plusieurs personnes à interviewer (car le démarchage pour avoir un rendez-vous prend du temps),


Marine Faure : Je pense que la durée de ce cours est trop courte pour nous laisser le temps de bien creuser le sujet choisi, de choisir la personne la plus adaptée pour nous répondre et pour réaliser une vidéo de qualité quand on ne sait pas vraiment se servir des logiciels vidéo. Cependant, l'idée est très bonne: il est nécessaire de savoir comment mener une interview avec un professionnel, de se renseigner sur le sujet du développement durable et d'apprendre à réaliser des montages vidéo, ce qui pourra toujours servir.


Qu’avez-vous pensé de ce cours ?

Caroline Pouyet : Ce cours est très intéressant sur le fond mais la durée très courte du projet nuit à la matière.

Julie Jobredeau : J’ai trouvé cette façon d’aborder le développement durable très intéressante. Les cours en amphithéâtre étaient bien animés par les différents professeurs en charge de ce cours.

Robin Divies : Ce cours était nouveau et intéressant au début. Cependant, nous avons acquis des compétences techniques en termes de reportage et pas spécialement en termes de performance durable.

Lauriane Savaron : Je pense que ce cours est très intéressant mais il mérite de lui accorder plus de temps pour aller davantage au contact des entreprises (avoir plusieurs rendez-vous et plusieurs points de vue entre-autre). Il a permis de développer des compétences techniques que nous n’utilisons pas dans d’autres cours.

Julie Laforêt : Je pense que ce cours est un projet très intéressant pour les étudiants et les professeurs. Le manque de temps nuit au projet, et ne permet pas d’apprendre réellement sur le développement durable.

Marine Faure : Ce cours est un cours très intéressant qui permet à chacun d’entre nous de pouvoir développer ses compétences, des compétences qui seront très certainement réutilisées dans le monde du travail. Cependant, je trouve que la durée de ce cours est vraiment trop courte pour pouvoir approfondir le sujet et rendre un travail de très haute qualité en particulier si on ne sait pas se servir de logiciels. La rencontre avec des professionnels a également été limitée en raison du temps.

Qu’est ce qui a bien fonctionné ? Mal fonctionné ?

Caroline Pouyet : Ce qui était bien c’est la plateforme du wiki. Elle apportait de nombreuses informations importantes concernant le projet et son évolution.

Julie Jobredeau : Le travail de groupe a bien fonctionné : nous avons trouvé rapidement le sujet que nous souhaitions aborder et la manière dont on souhaitait le développer. Les amphis de développement durable ont permis de cadrer notre travail.

Robin Divies : Les ressources sur le wiki et l’utilisation du wiki ont a mon sens bien fonctionné. En revanche, sur la skem banque, nous avons constaté que beaucoup de groupes faisaient de faux échanges pour avoir des échanges et augmenter leur note. Le fait d’inciter les gens à faire des échanges pousse à ce genre de dérives.

Lauriane Savaron : Le travail d’équipe a assez bien fonctionné, nous nous sommes mis rapidement d’accord sur le sujet à traiter et notre coordination des tâches a été réussie. Cependant, nous avons eu du mal à décrocher un rendez-vous avec un professionnel.

Julie Laforêt : Je pense que la plateforme du Wiki a bien fonctionné : elle est riche en information. La Skem banque à mon avis, n’a pas très bien fonctionné.

Marine Faure : Le travail en groupe a très bien fonctionné. Il est évident que comme nous avons choisi nos collaborateurs nous avions des affinités avec ces personnes. Mais la difficulté du travail aurait pu altérer ces relations ce qui n’a pas été le cas. En contrepartie, il nous a été très difficile de décrocher un rendez-vous avec un professionnel. Nous avions plusieurs contacts mais beaucoup n’étaient pas disponibles. De plus, lors de la réalisation des micro-trottoirs, beaucoup de personnes ont refusé de participer à notre reportable parce qu’elles ne souhaitaient pas être filmées.


Quid de la suite : stop ou encore ?

Caroline Pouyet : Je pense que ce cours a de l’avenir. Il peut devenir de plus en plus intéressant avec l’expérience. C’est un cours qui devrait se faire en td et pas qu’en amphi pour pouvoir mieux suivre les groupes et les impliquer plus dans le projet. En résumé c’est un nouveau cours à garder pour les prochaines années mais s’il faudrait changer quelques petites choses!

Julie Jobredeau : Il serait intéressant de mettre en place des TD pour tout ce qui est travail technique : élaborer des séquences vidéo, comment faire un montage… parce que ça a été la partie la moins évidente du projet. De plus, le temps imparti pour réaliser ce projet était trop juste : décrocher un rendez-vous n’a pas été simple car avoir les autorisations pour filmer demande beaucoup de temps. Je pense que pour l’année prochaine il serait plus judicieux de démarrer le cours dès Septembre pour qu’on ait le temps de se retourner ou alors d’étaler le cours sur 1 an.

Robin Divies : Oui mais améliorer le mode de fonctionnement (Skem banque) et faire démarrer les tâches plus tôt ! Le délai était trop court pour rendre un projet convenable. De plus, il faudrait faire démarrer les deadlines plus tôt pour les premières tâches car sinon on se retrouve à avoir toutes les deadlines de tous les cours de SKEMA en même temps et c’est difficile de tout gérer.

Lauriane Savaron : Il faut continuer ce cours, en langue française surtout ! Mais accorder plus de semaines aux élèves pour ne pas avoir l’impression d’être frustré par les deadlines.

Julie Laforêt : Il faut continuer ce cours qui est novateur, intéressant et stimulant mais lui donner un format plus adapté (plus de temps, peut-être un TD avec son référent lors de la construction de la problématique…)

Marine Faure : Je pense que ce cours mérite d’être continué puisqu’il nous permet de développer nos compétences. Cependant, il faudrait rallonger les délais pour laisse à tout le monde la possibilité de rendre un travail bien réalisé.

Commentaire du professeur[modifier | modifier le wikicode]

Bon sujet, mais très emprunt de DD et qui ne lie pas à une problématique de management. L'investigation est très centrée sur les moyens actuels d'eco-transports (vélo, voiture électrique, tramway), il n'y a pas d'éléments réellement nouveau dans le reportage. La vidéo démarre bien, mais les vrais questions DD étaient sous doute à la fin de votre article wiki.

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