Comment les entreprises de construction eco-responsable gèrent-elles leur politique d'achat de matériaux?
Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]
La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
Comment les entreprises de construction eco-responsable gèrent-elles leur politique d'achat de matériaux?
Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]
Lien vers notre dossier de production
Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]
Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]
Comment les entreprises de construction éco-reponsables gèrent-elles leur politique d'achat de matériaux ?
Quelque soit leur taille ou leur secteur d’activité, toutes les entreprises ont été amenées à adopter une démarche éco-responsable. En effet, incitées par une prise de conscience générale et de nouvelles règlementations, elles doivent veiller à limiter les impacts économiques, sociaux et environnementaux de leurs activités. Plus précisément, le secteur de l’éco-construction est directement concerné par la notion d’éco-responsabilité puisqu’il contribue à la préservation des ressources énergétiques et que près de 30% des émissions de gaz a effet de serre sont liées à l’habitation. Cependant, quelles sont les caractéristiques de la politique d’achat de matériaux des constructeurs éco-responsables ? Quels sont les labels et normes spécifiques à respecter au niveau de la politique d’achat ?
Certaines entreprises d’éco constructions se prévalent de labels qui certifient la provenance des bois et leur utilisation. Certains d’entre eux comme PEFC (Programme de reconnaissance des certifications forestières) ou FSC (Forest Stewartship Council) ont été créés par des ONG telles que Greenpeace. Cette dernière assure qu’une habitation dont le matériau principal est le bois respecte des procédures censées garantir la gestion durable des forêts. La certification PEFC quant à elle, a pour objectif de la promouvoir. Toutefois, l’essence même de ces labels peut être remise en cause puisque leur attribution n’est soumise à aucun contrôle. Seul le label HQE (Haute Qualité Environnementale) a une réelle valeur puisque qu’il doit remplir quatorze critères environnementaux.
Cependant, l’éco responsabilité ne se limite pas à ces normes, il convient également aux entrepreneurs de faire preuve de bon sens et de vigilance quant à la provenance et à la qualité des matériaux achetés. Certains entrepreneurs se fournissent au-delà des limites européennes (Chine, Canada) et ces importations ont un coût. Force est de constater que sur le long terme l’impact environnemental dû au transport est compensé par les gains écologiques réalisés.
L’éco-construction à l’échelle mondiale reste un concept utopique comme nous le démontre le projet « Masdar » initié à Abu Dhabi. En effet, en plus de nécessiter un investissement astronomique, il requiert l’emploi de ressources naturelles qui pourraient être amenées à disparaître. Il convient alors de s’interroger sur le financement et la suffisance naturelle pour promouvoir le concept de développement durable à l’échelle planétaire.
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Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]
Question 1 : En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus largement de la société ?[modifier | modifier le wikicode]
Contribution d’Aurélie Ce projet m'a permis de voir les nombreux lien entre les différentes partie prenantes de l'entreprises (architecte, fournisseur, constructeur) et plus particulièrement les contraintes donner par chacun d'eux et l'enjeu et la difficulté de les tenir. De ce fait, je constate que la société est construite autour de nombreuse contraintes sans lesquelles rien ne fonctionnerait
Contribution de Pierre : Ce cours m’a permis de voir ce qu’il se passait derrière les façades de l’entreprise ; de constater le pragmatisme de chacune en terme de développement durable qui est une notion difficile à circonscrire (contraste entre entreprise et ONG). Au niveau de la société nous nous sommes rendu compte que la compréhension et le souci de notions comme le développement durable, le green washing ou l’économie circulaire dépendait de la génération des personnes. Une personne retraitée à baigné dans l’idée de consommation de masse alors que la génération Y revendique le mieux consommer et lutte contre la fatalité et le communément admis.
Contribution de Max : L’analyse de la politique d’achat d’une entreprise passe nécessairement par l’appréhension des différents mécanismes régissant son fonctionnement. Ce projet combinait cette vision avec celle de la société notamment par le recours au micro-trottoir réalisé auprès de quidams. Enfin, l’univers militant associatif a constitué un prisme d’analyse supplémentaire permettant de réaliser que toute ces visions s’opposent surs de multiples points.
Contribution de Clarisse : Ce projet m’a permis de porter un nouveau regard, plus approfondi, à l’égard de la société et plus précisément au niveau des entreprises qui, comme nous avons pu le voir dans notre reportage, se tournent vers l’éco-responsabilité. En réalisant ce reportage j’ai pu appréhender et mieux comprendre le mode de fonctionnement de ces entreprises dites éco-responsables ainsi que leur politique d’achat.
Contribution de Nina : Nous avons choisi de développer notre projet autour de l’éco construction. Ce domaine étant très énergivore, il est nécessaire de trouver des solutions dans le respect de la planète. A l’image de cette problématique, j’ai acquis une nouvelle compréhension du business en général de par la vision global des besoins des parties prenantes et des enjeux auxquels elles sont confrontés.
Contribution d’Alexandre :
Ce cours m’a amené à réfléchir sur les différentes problématiques se rapportant au développement durable (image, éthique, enjeux politiques, notoriété, ..). J’ai également compris les enjeux majeurs auxquels les entreprises sont confrontées aujourd’hui et comment elles vont y faire face durant les années à venir.
Question 2 : Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?[modifier | modifier le wikicode]
Contribution d’Aurélie : Tout d'abord, j'ai pu acquérir de nombreuse connaissances sur le domaine de la construction, domaine qui me plait fortement, de ce fait je me suis vraiment intéressé au sujet. Je n'ai pas réellement appris de compétences, mise a part la gestion des "conflits au sein du groupe (avis divergeant, implication différents) c'est avec des projets comme celui là qu'on se rend compte de la difficulté de travailler en groupe et qui nous une appréhension de l'entreprise
Contribution de Pierre : Outre les connaissances techniques sur l’éco-construction apprises lors de ce projet, j’ai appris à mieux me servir d’une caméra. Chose qui paraît évidente mais n’en demeurant pas moins difficile. De plus, grâce à ce projet je me suis rendu compte que chaque poste au sein du groupe avaient tous leur légitimité car tous requéraient une grande implication personnelle pour bien remplir sa mission.
Contribution de Max : Ce projet a été très enrichissant par de nombreux aspects. En effet, l’expérience du travail de groupe sur une durée relativement longue permet de mieux appréhender l’aspect humain et les interactions entre les différents acteurs. Le contact avec des professionnels ou des membres du milieu associatif m’a permis de mieux comprendre les tenants et les aboutissants du monde du travail. Enfin, la prise d’initiative reste pour moi la clé de voute d’un projet de cette envergure.
Contribution de Clarisse : Dans un premier temps, ce travail m’a apporté des connaissances plus précises dans le secteur de l’éco-construction. J’ai aussi eu l’opportunité d’interviewer des chefs d’entreprises ainsi que des membres d’ONG, chose que je n’avais encore jamais eu l’occasion de faire, j’ai donc du apprendre à me mettre dans la peau d’une vraie journaliste, en posant des questions pertinentes afin d’obtenir les éléments de réponse nécessaires à notre reportage. Aussi, le travail en équipe nous a permis de pouvoir mettre en commun nos idées, mêmes divergentes, requérant ainsi une certaine diplomatie ainsi qu’un esprit de synthèse lors de la mise en forme de notre reportage.
Contribution de Nina :Nous avons choisi de travailler plus particulièrement sur le bois pour circonscrire notre projet : j’aurais ici appris, les bienfaits du bois dans la construction ; d’une part au niveau énergétique et d’autre part au niveau de la durabilité des bâtiments. Le plus grand apprentissage dans ce projet reste, l’organisation face à un projet plus complexe qu’un simple rapport à rendre. De plus le sujet choisi était, certes intéressant, mais difficile à mener en termes d’investigation car nous avons ressenti une frilosité des entreprises interviewés.
Contribution d’Alexandre : Durant ce cours, j’ai appris à travailler de façon organisée (gestion de notre temps pour rendre chaque étape du travail en temps et en heure). Ce projet m’a également permis de développer mon esprit de synthèse (durant le montage des interviews).
Question 3 : Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris (de vos pairs ? de l’interviewé ? De vos profs ? …) ?[modifier | modifier le wikicode]
Contribution d’Aurélie :
Contribution de Pierre : Au premier abord elle est déconcertante ; nous avons été habitués à être considérés comme des élèves. En revanche, à ce cours nous étions des professionnels autonomes libres de nos choix. Lorsque j’ai entendu ce concept, mon premier sentiment a été l’excitation puis lors de la formation des groupes je me suis très vite dit que ça allait être piquant. En effet, avoir l’avis de chacun et en faire des idées admises par tout le groupe n’était pas mince affaire. Même si parfois laborieux, j’ai pris beaucoup de plaisir à travailler sur ce projet et j’ai beaucoup appris de mes pairs.
Contribution de Max : Il est intéressant de noter qu’une autonomie quasi-totale nous était accordée dans l’organisation temporelle de notre travail et que ceci n’a pas forcément été profitable. Au-delà de ca, le partage des idées et l’émulation positive qui en résulte amène à un raisonnement plus constructif et permet à chacun de mettre en avant ses qualités propres.
Contribution de Clarisse : J’ai trouvé cette méthode d’apprentissage plus dynamique et motivante qu’une méthode classique. Lors de cette expérience, j’ai appris à plusieurs niveaux : avec mes professeurs qui nous ont permis d’approfondir la notion de performance durable, notion dont la définition été, jusqu’à présent restée assez vague pour moi, j’ai aussi appris des personnes que j’ai pu interviewer, confronter leurs différents points de vue.
Contribution de Nina : A première vue, j’ai trouvé cette nouvelle expérience d’apprentissage beaucoup plus motivante et pragmatique. J’étais motivé par ce projet, néanmoins le manque d’organisation dont nous avons fait preuve, m’a concrètement démotivé. L’expérience est devenu plus de faire un reportage pour faire un reportage et non plus de s’intéresser au développement durable en générale. Si on devait le refaire, je ne m’y prendrais pas de la même manière.
Contribution d’Alexandre : Durant cette expérience, j’ai découvert les méthodes de travail de mes pairs, parfois différentes. Il a fallu que chacun s’adapte pour parvenir à travailler efficacement. J’ai également réalisé à quel point il était difficile de rencontrer des professionnels pour qu’ils puissent nous consacrer de leur temps.
Question 4 : A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (inférieur à 25%, entre 25 et 50%, entre 50 et 75% ? Au-delà de 75%) ? Qu’est ce qui a été le plus utile pour vous ? Si faible utilisation, pourquoi ?[modifier | modifier le wikicode]
Contribution d’Aurélie : Personnellement je n'ai fait que des recherches techniques comme la forme de l'article wiki ou le document de cession des droits à l'image donc inférieur à 25%
Contribution de Pierre : j’ai très peu utilisé les ressources du wiki donc je dirais moins de 25% car je me suis documenté sur d’autres sites internet pour parfaire mes connaissances de cameraman.
Contribution de Max : Le recours au wiki a été essentiel à la genèse du projet mais cette dynamique s’est étiolée au fur et à mesure de son avancée. En effet, le recours à des sources plus spécialisées combiné à la facilité de se tourner vers les autres groupes a favorisé ce phénomène. J’estime ainsi avoir utilisé moins de 25% des ressources disponibles sur le wiki.
Contribution de Clarisse : J’estime avoir utilisé les ressources du wiki et liens associés à 25 % environ, principalement pour mieux comprendre certaines notions du développement durable et pour comprendre les consignes données par nos professeurs.
Contribution de Nina : Je dirais entre 25 et 50% afin de bien comprendre les enjeux du projet et les consignes. J’ai visionné toutes les informations au niveau du montage, mais ce n’est pas l’objet du cours. Notre problématique étant orienté sur l’éco-construction, j’ai préféré me tourner vers des sources spécialisées dans le domaine pour trouver les réponses à mes questions.
Contribution d’Alexandre : Nous avons utilisé les ressources du wiki à hauteur de 25% puisque nous avons pu obtenir les informations restantes auprès des interviewés, de nos camarades de classe et sur d’autres ressources accessibles sur internet.
Question 5 : Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?[modifier | modifier le wikicode]
Contribution d’Aurélie : Contrairement à d'habitude lors des projets que j'ai réalisé, j'ai beaucoup plus délayé le travail et laisser faire mes camarades lorsqu'on été pas d'accord. Je n'ai pas regardé la bourse aux compétences
Contribution de Pierre : Lors de mes travaux de groupe précédents je préférais avoir un contrôle sur le travail de mes collaborateurs même si cela impliquait un travail personnel supplémentaire. En revanche, pour ce projet j’ai préféré ne pas m’impliquer davantage, faire les tâches qui m’incombaient en m’adaptant au groupe. Concernant les pratiques inter groupe j’ai très peu utilisé la bourse aux compétences même si je posais parfois des questions techniques aux autres groupes sans faire d’échanges payant.
Contribution de Max : L’accès à a bourse de compétences et donc la possibilité de partager informations, contacts et matériel élargit le cadre du projet au delà du concept même de groupe et renforce ainsi sa dimension globale. Il n’a cependant pas été aisé d’en profiter pleinement, notamment en raison du manque de diversité dans l’offre et du repli sur soi de certains.
Contribution de Clarisse : Grâce à ce cours, nous avons pu mettre utiliser les compétences de chacun afin de mener à bien notre projet que ce soit pour la réalisation des interviews, pour le montage final , le choix des musiques et la rédaction de l’article. Ce projet fut très enrichissant dans l’ensemble mais une meilleure organisation de l’équipe aurait été plus bénéfique.
Contribution de Nina : Ce projet aurait pu avoir une influence s’il avait été correctement mené, une meilleure organisation aurait été nécessaire. La collaboration est une donnée très importante au sein d’un groupe et nous avons malgré tout réussi à finir ce projet en temps et en heure.
Contribution d’Alexandre : Ce cours a eu une influence sur mes pratiques collaboratives (nécessité de s’adapter aux méthodes de chacun). Les compétences ont pu circuler puisque certains avaient des capacités pour la réalisation de l’interview, d’autres étaient plus à l’aise pour interviewer les professionnels et d’autres étaient plus à l’aise pour la rédaction de notre article.
Question 6 : Quelles sont vos critiques et suggestion d’amélioration pour ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]
Contribution d’Aurélie :
Le temps est relativement court surtout pour le contact avec les entreprises et le montage vidéo parce que nous ne sommes pas toujours très bien reçu au téléphone et nous avons de connaissances dans le domaine du montage vidéo. Le principe du cours reste tout de même intéressant et doit être renouvelé
Contribution de Pierre : Le concept est très séduisant. En effet, le fait qu’il soit interactif demande bien plus d’implication personnelle qu’un cours conventionnel. En France, les cours sont très majoritairement basés sur le principe du professeur qui enseigne et de l’étudiant qui écoute. Ce côté passif pousse l’étudiant à l’oisiveté et à retenir les notions développées uniquement pour un examen. De plus, les études traditionnelles nous poussent à être individuel et en compétition avec les autres alors que de plus en plus d’entreprises ont un système hiérarchique horizontal, paradoxe ? C’est pourquoi je suis fier d’avoir pu participer à un cours comme celui-ci qui nous prépare au monde de l’entreprise et je l’encourage car à mon sens, nous ne sommes pas assez formés à travailler en groupe. Il serait peut être bon d’insister d’avantage sur l’importance de la composition du groupe et de chaque post au sein de ce dernier via un quiz ou sous forme de jeu.
Contribution de Max : J’estime que la mise en place de deadlines plus fréquentes ou d’un suivi plus poussé des différents projets par les professeurs amènerait une certaine cohérence et aboutirait à un contenu plus spécifique et ciblé sur les objectifs de la matière.
Contribution de Clarisse : Comme dit précédemment, la méthode d’apprentissage de ce cours et plus stimulante qu’une méthode classique, cependant, un meilleur suivi en petit groupe aurait été apprécié afin de bénéficier d’un suivi en temps réel de notre projet avec un professeur référent et de prendre en compte ses conseils et recommandations. Même si nous pouvions poser des questions aux professeurs via mails ou post, une rencontre en face à face, en petits groupes, n’est pas comparable. Cependant, merci pour cette expérience enrichissante !
Contribution de Nina : J’ai apprécié l’effort des professeurs de nous proposer quelque chose de différent et j’espère que les promotions suivantes pourront y participer également. Les critiques que j’ai à faire sont les suivantes : Premièrement, tout projet a besoin d’un chef de projet qui peut lui orchestrer toute les compétences des autres, je pense que ce rôle manquait et aurait pu largement être confié à un des rôles mineurs du groupe. Un manque de suivi également, je sais bien qu’il est compliqué de suivre 200 groupes mais peut être qu’un amphi aurait pu être scindé en deux afin de vérifier l’avancé des projets. En effet nous ne sommes malheureusement pas tous encore capable de travailler en autonomie. Ensuite en ce qui concerne l’implication de tous les membres de l’équipe, je trouve bien l’idée que chacun est un rôle mais au final tous ne participe pas de manière équitable au projet et n’ont pas les mêmes acquis à la sortie. Peut-être auriez-vous pu demander à chaque personne de vous rendre un rapport écrit avant de commencer la vidéo sur une proposition de sujet et comment il voyait son reportage. Cela aurait ensuite permis de peut-être mieux collaborer. Une dernière critique en ce qui concerne les prix décernés, et le respect des consignes. Je ne renie pas que ces groupes aient fait du bon travail (certainement bien meilleur que le notre)mais je trouve ça dommage que les groupes récompensés soit des groupes qui ai utilisé des images de reportage déjà existant et des musiques dont ils n’avaient pas les droits, ce qui rend leur reportage beaucoup plus attirant. Dommage pour les autres groupe qui eux avaient travaillés dans les règles.
Contribution d’Alexandre : Même si le travail fut très long et parfois éprouvant, j’ai apprécié travailler sur ce concept différent de ce que l’on a pu connaître habituellement. Toutefois, j’aurais apprécié que l’on nous aide pour le montage de nos vidéos (conseils sur les logiciels et comment les utiliser).
Votre feedback - Groupe 95[modifier | modifier le wikicode]
La problématique est intéressante et l’investigation bien menée. En revanche, les qualités audiovisuelles sont moins bonnes et l’originalité du storyboard aussi. Par chance l’article apporte des éléments que l’on ne trouve pas dans la vidéo et qui sont très intéressants. En ce sens il répond à la complémentarité attendue.