Enjeux et évolutions des espaces verts à Lille.
Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]
La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
Dès la fin du 19ème siècle, le Nord pas de Calais a vu ses industries se développer rapidement. En effet, les 3 secteurs moteurs du charbon, de la métallurgie et du textile ont impulsé la forte croissance de l’industrialisation. En 1930, 60 % de la population active travaillait dans l’industrie. Néanmoins, ces activités, certes prospères à cette époque, ont commencé à être en crise et à cela s'ajoute un développement accru de la pollution dans la région Lilloise. Dès lors la ville de Lille a décidé d'agir afin de renouveler son économie et son environnement. En 2012, Lille a été élue capitale de la biodiversité au concours NatureParif. En effet, depuis près de 5 ans, ses habitants semblent exprimer le désir d’une ville plus naturelle.
Nous avons donc décidé d’étudier l’évolution des espaces verts à Lille et l’efficacité de ces changements.
Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]
Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]
Nous tenons à remercier chaleureusement Jérôme THOMAS Paysagiste dans l'entreprise Paysage situé à Lille.
Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]
L’évolution des espaces verts à Lille : mythe ou projet réellement réalisable ?
Pionnier de la révolution industrielle française, le Nord Pas-de-Calais est depuis l’aube du XVIIIème siècle un lieu où dynamisme industriel et détérioration de l’environnement règnent en maître. En effet, au fil de ces siècles, la région a toujours été dynamique, si nous prenons l’Ile-De-France et le Nord-Pas-De-Calais comme unité, cette région a toujours représenté entre 40 et 60% du PIB Français. Poids clairement non négligeable, la priorité a toujours été donnée à la croissance et au dynamisme économique. Néanmoins, dès le milieu du XVIIIème siècle, dans les années 1860, grâce à un mouvement hygiéniste, la notion de développement durable commence à émerger et l’idée d’un bon vivre dans un bon environnement s’immisce dans la tête des habitants. Des paysagistes tels que Jean-Pierre Barillet-Deschamps commençaient déjà à imaginer des plans d’embellissement de la ville mais aussi vouloir créer des espaces verts.
On sait dès lors que l’idée d’un bel aménagement n’est pas récente, mais pourtant, la vraie réalisation d’un projet n’est pas ancienne du tout. On se rend compte qu’en effet, il y a une réelle différence entre l’idée d’un projet et la réalisation de celui-ci. Ce n’est qu’en 1999 avec le Plan d’Action pour le Développement Durable (PADD) qu’on commence à réellement mettre en place des projets réalisables pour encourager l’allocation d’espaces verts ainsi que leur implantation avec entre autres la création du fameux Agenda 21 en l’an 2000. (Plus d’infos sur celui-ci sur :http://www.lillemetropole.fr/index.php?p=1187 )
Ces cinq dernières années, le projet de développement durable a été nettement appuyé par des stratégies politiques tout en gardant un souci quant au dynamisme économique de la ville. C’est pourquoi cet enjeu nous a intéressé : à la fois la sauvegarde de l’économie lilloise et la réalisation concrète d’un aménagement de la métropole lilloise avec le développement d’espaces verts.
Notre étude auprès des professionnels et des habitants de Lille a d’ailleurs confirmé cette controverse. En effet, d’un point de vue professionnel, on remarque nettement une amélioration du paysage Lillois depuis ces 20 dernières années comme nous le disait Jérôme Thomas, paysagiste dans l’entreprise PAYSAGE située à Lille. Qui plus est, il a aussi observé un plus grand dynamisme lors des trois dernières années avec une accélération du projet. Cependant, en interrogeant les habitants, c’est une tout autre conclusion que nous tirons : cette accélération décrite par les professionnels est à nuancer. Les habitants ne remarquent pas forcément de changement flagrant, et lorsqu’ils le remarquent, c’est un sujet de débat. Afin d’illustrer cette controverse, nous allons prendre deux exemples majeurs : Le parc de la Citadelle et le parc Jean-Baptiste Lebas.
Tout d’abord la zone de la Citadelle a été rénovée, aménagée et enjolivée, résultat non négligeable au vu du succès et de l’affluence qu’elle crée. La satisfaction des habitants quant à ce projet n’est pas des moindres et les professionnels de l’aménagement du territoire semblent se joindre à cet avis même s’ils dénotent encore des efforts à poursuivre afin d’améliorer au mieux ce projet très viable pour la ville de Lille. Mais, il n’en est pas de même pour tous les projets menés. Le parc Jean-Baptiste Lebas est un sujet paradoxal. En effet, ce projet avait pour but d’enjoliver le quartier sud-est de Lille en y créant un parc plus grand, à vocation de tranquillité, d’apaisement et de fédération. Cependant, si ce projet a permis de retirer un grand parking autour d’un parc mourant afin de laisser plus de place à la nature, les grandes grilles rouges délimitant le parc freinent l’attraction et la beauté du lieu. De plus, le nombre de places supprimées par ce projet n’a trouvé aucun autre projet de substitution (problématique des places de parking pourtant importante dans la ville de Lille).
Dès lors, nous en tirons plusieurs conclusions. Les espaces verts sont nettement en évolution aujourd’hui, la Citadelle et le parc Jean-Baptiste Lebas en sont des exemples notoires. Dorénavant, le développement durable en particulier dans les espaces verts n’est plus seulement qu’une idée mais il est une réalité, un projet concret. Néanmoins, il s’agit ici de nuancer ces propos, car même si les espaces verts évoluent et s’agrandissent ils ne doivent pas être réalisés au détriment d’autres projets peu importe leurs importances. La création d’espace verts et globalement le développement durable est une solution et non un projet sécréteur d’autres problèmes.
Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]
1. En quoi ce cours vous donne t-il une nouvelle compréhension du business en général ? Et plus largement de la société ?
Adrien : La nouvelle compréhension apporte par ce cour est une nouvelle vision du développement durable et particulièrement des espaces vert au sein d’une ville comme Lille. Aussi la vision qui peut différer entre un habitant lillois et un paysagiste qui vont avoir une image différente de l’évolution de ces espaces.
Jeanne : Grâce à ce cours, nous avons touché du doigt le lien entre le développement durable et le management. Grâce à cela, j'ai pu apprendre que le management en lui-même concerne aussi bien des aspects sociaux, culturels, mais aussi économique et politique. Le développement durable a été un très bon exemple de domaine managérial, car c'est un thème qui recouvre également ces 4 aspects. Le business est un domaine réellement complexe et vaste, mais doit pourtant respecter des directives très précises aujourd'hui. Le développement durable est très à la mode depuis ces dernières années, et plus aucun société n'y échappe ! C'est devenu un objectif commun au monde du business en général, mais aussi et surtout de la société.
Maxime : Ce cours m’a permis de prendre conscience de l’importance qu’a pris le développement durable dans le management mais aussi dans notre société en général. En effet du fait des différentes problématiques actuelles, aussi bien écologiques, qu’économiques, et sociales, les entreprises et les pouvoirs publiques ont dut s’adapter. Pour moi il s’agit d’un début et il faut s’attendre à ce que ces démarches de développement durable se multiplient aussi bien dans le privé que dans le publique.
Yelena : Nous avons appris beaucoup de chose grâce à l’interview et au micro trottoir qui nous ont permis d’avoir une autre vision du business et de la société. Par exemple, je me suis rendu compte du lien important qu’il y avait entre management et développement durable.
Youcef : Ce cours a été très intéressant pour plusieurs raisons. Premièrement, il est vrai qu’il nous a permis une meilleure compréhension de la société et de la notion du développement durable. En effet, j’ai découvert et par la suite compris qu’il existe plusieurs opinions dominantes dans une même société, dans une même ville. L’avis des professionnels et l’avis des consommateurs ainsi qu’en somme l’avis général peuvent être complètement différents les uns des autres. En l’occurrence sur notre projet, nous avons bien vu que l’avis des professionnels divergeait clairement de celui des habitants lambda. Néanmoins, je trouve que dans la compréhension du business en général cela n’as pas été très fructueux dans le sens où la composante financière était bien moins présente et je considère que cela a un impact direct sur les décisions prises au sein des sociétés.
Sylvain : Nous avons pu voir l’application dans le monde réel de concepts et théories sur le management de projet et le développement durable vus en cours ou lors de recherches, grace en particulier à l’interview et au micro-trottoir.
2. Qu’avez vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez vous formuler vos compétences acquises ?
Adrien : Ce que j’ai le plus appris est le travail de groupe, l’utilisation de la plateforme wiki et le respect de deadline concernant les devoirs à rendre. De plus le respect des personnes interviewées.
Jeanne : Dans ce cours, j'ai tout d'abord approfondi les méthodes d'un travail de groupe (organisation, respect des deadlines, conditions de travail en équipe). J'ai également appris à rechercher les enjeux durables que pouvaient avoir la société et les entreprises. Interviewer un professionnel a été aussi très formateur, car nous devions poser des questions pertinentes et connaître notre sujet.
Maxime : Ce cours m’a permis de développer mes compétences en matière de travail de groupe et surtout en organisation. En effet afin de pouvoir rendre notre travail dans le temps imparti il était nécessaire d’avoir un planning de travail bien détaillé et correctement réfléchi d’autant plus qu’il fallait prendre en compte les temps de tournages et de montages.
Yelena : Evoluer mes compétences en terme de travail en groupe (organisation, respect des deadlines, prendre sur moi mémé, donner des consignes tout en restant amicale, écouter les autres…)
Youcef : Lors de ce cours j’ai acquis quelques compétences. Sans être le but premier je pense, avoir été banquier de l’équipe m’a fait développé un côté commercial quant à l’échange de compétence. On a aussi dû par la même occasion développer des compétences afin de pouvoir les vendre par la suite. C’est pourquoi j’ai pu développer quelques compétences comme la rédaction d’article journalistique, le reporting, et la création d’un dossier de production.
Sylvain : Travailler en groupe : l’organisation, le partage des tâches, mais aussi l’écoute des autres, le respect des deadlines, le travail avec les autres groupes (le partage via skembank)
3. Comment avez vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? de qui avez vous le plus appris (de vos pairs ? de l’interviewé ? de vos profs ?)
Adrien : Cette expérience a été très intéressante, particulièrement grâce aux différents points de vues soit des intervenant soit des personnes de mon groupe, concernant les professeur je pense qu’il y aurait pu avoir des rendez vous en face à face pour voir l’avancement des groupes et donc pour nous aider.
Jeanne : La personne qui m'a le plus appris est le professionnel interviewé car il avait une réelle connaissance de notre sujet et savait expliquer les enjeux qui nous intéressaient. Il avait une vision et un point de vue très précis et très intéressant sur notre problématique.
Maxime : Cette nouvelle expérience d’apprentissage ne m’a rien apporté de particulier. Cependant notre interview avec le paysagiste était très intéressante, et m’a permis de mieux comprendre les enjeux du paysagisme au sein d’une grande ville tel que Lille.
Yelena : C’était très intéressant, bien que cela ai été difficile parfois. J’ai le plus appris de mes camarades du groupe. En effet, j’ai trouvé que travailler en équipe sur un projet qui réunissait plusieurs chose, était le côté le plus intéressant et éducatif du projet.
Youcef : J’ai beaucoup appris de plusieurs côtés du projet. Tout d’abord j’ai beaucoup appris en allant voir les professionnels, j’en ai appris un peu plus sur mon sujet. En effet, au-delà de nos recherches sur internet et sur quelques ouvrages il était intéressant d’avoir un avis de personne qui travaille totalement dans le développement, personnes chez qui le développement durable n’est pas qu’une simple notion mais qui est de leur vie de tous les jours. J’ai beaucoup appris du travail en groupe dans le sens où avec la bourse de compétences on a su tiré profit des compétences de chacun, dès lors nous avons su bien nous analyser et donc nous nous sommes rendus compte que nous avions tous quelque chose à apporter au groupe et nous apprenions des choses de chaque personne à chaque travail ou partie de travail ensemble.
Sylvain : C’était très intéressant, bien que cela ai été difficile parfois. J’ai le plus appris de mes camarades du groupe. En effet, j’ai trouvé que travailler en équipe sur un projet qui réunissait plusieurs chose, était le côté le plus intéressant et éducatif du projet.J’ai beaucoup appris du travail en groupe dans le sens où avec la bourse de compétences on a su tiré profit des compétences de chacun, dès lors nous avons su bien nous analyser et donc nous nous sommes rendus compte que nous avions tous quelque chose à apporter au groupe et nous apprenions des choses de chaque personne à chaque travail ou partie de travail ensemble.L’expérience a été intéressante. J’ai tout d’abord appris de nombreuses choses sur le développement durable, dans le cadre des recherches sur notre projet et lors de l’interview de professionnels. Il était en effet enrichissant de partager avec un spécialiste du développement durable pour compléter mes connaissance, acquises pour la plupart sur internet. Ensuite, en travaillant en équipe, j’ai pu apprendre plus sur moi-même et sur les autres membres de mon groupe : nous avions tous quelque chose à apporter au groupe et avons pu diviser les tâches en conséquence.
4. A quel pourcentage estimez vous avoir utilise les ressources du wiki et les liens associés (inferieur a 25 %, entre 25 et 50, entre 50 et 75 % au delà de 75 %) Qu’est ce qui a été le plus utile pour vous (si faible utilisation, pourquoi ?)
Adrien : Personnellement en tant que jardinier Wiki j’ai utilisé les outils à plus de 75%.
Jeanne : Entre 25% et 50%. Ce qui été le plus utile était la vidéo explicative de ce qu'il ne fallait pas faire. Je n'ai pas utilisé énormément le Wiki car il y avait beaucoup de choses et je ne suis pas friande de ce genre de plateforme. Nous nous sommes fait pirater notre compte plusieurs fois, il y a eu des propos mal venus sur notre page Wiki et sur notre compte Skem Bank, tout le monde peut accéder au contenu de tout le monde, je trouve cela très problématique.
Maxime : Moins de 25% car j’ai été très énervé après que notre compte wiki ait été piraté plusieurs fois ce qui nous a fait perdre beaucoup de temps. A part cela j’ai trouvé la vidéo sur les choses à ne pas faire instructive.
Yelena : Entre 50 et 76 %. Le plus utile pour moi a été le planning mis en place sur wiki afin de savoir où en étions nous, que devions nous faire et pour quand.
Youcef : Néanmoins, je pense que le wiki, personnellement, ne m’a pas été trop utile. Soit parce que je n’en connaissais pas toutes les portées soit parce que je n’en avais peut être pas besoin. J’estimerai à inférieur à 25% car mis à part les deadlines, les projets à rendre et les petites informations telles que celles-ci, sinon je n’y allais pas pour autres choses.
Sylvain : Entre 50 et 75%. Le planning sur le wiki a été important car il nous permettait de nous repérer dans le temps et de mettre en place des deadlines. Ensuite, l’aspect collaboratif du wiki et de Skembank permet d’échanger avec les autres groupes et de voir les évolutions de chaque projet, ainsi que la possibilité d’interagir avec le professeur référent (en particulier pour pouvoir trouver une problématique) se sont révélés particulièrement utiles.
5. Ce cours a t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui ? Quelle a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?
Adrien : Je pense que cela a eu un effet motivateur concernant mon implication non seulement par rapport à mon projet mais aussi par rapport aux membres de mon groupe.
Jeanne : Ce projet a eu une influence sur mes pratiques collaboratives intra groupe, étant donné que dans ce projet là, chacun pouvait mettre sa compétence spécifique en avant (journaliste, montage vidéo, …) et ainsi l'harmonie du groupe était bien plus intéressante que dans un projet écrit. Pour ce qui est des pratiques collaboratives inter groupe, nous avons pu échanger des conseils et des compétences avec d'autres groupes, mais ce n'est pas le cours en lui-même qui a incité ces échanges.
Maxime : Ce cours a permis à mon groupe et moi-même de proposer nos compétences à d’autres groupes et d’acquérir des connaissances qui nous manquaient. Notre compétence principale était le montage vidéo, mais nous proposions aussi des résumés de cours et des locations de caméra.
Yelena : Ca a été un cours qui nous a appris et permis d’échanger et d’apprendre à travailler en groupe mais aussi avec les autres groupes grâce à la plateforme skembank.
En conclusion, je trouve que ce cours a été très utile et intéressant. Toutefois, je pense qu’il y a pas mal de point à revoir: La plateform skembank et ses histoires de mot de passe. En effet, vu que tout le monde avait le mot de passe de chacun, il était facile de se connecter sur le groupe de quelqu’un d’autre et de poster des offres qui n’ont rien à voir avec ce cours. Le même problème avec le WIKI. On peut modifier ce que les autres groupes on fait. De ce fait nos texte ainsi que dossier de production et vidéo ont été plusieurs fois supprimé et modifié par d’autres groupes.
Youcef : SKEMBANK a été une plateforme plutôt novatrice et je trouve qu’elle est un bon point du projet. Nous avons vendus des capacités de rédaction d’articles ainsi que d’audiovisuels car nous étions bon dans ces domaines. À l’inverse nous avions quelques lacunes quant aux démarchages de contact et nous avions donc usé d’un bon carnet d’adresse d’une autre équipe Et c’est là tout l’intérêt de l’échange de compétences et je trouvais donc ça très intéressant.
Sylvain : Ce cours a permis de de partager avec les autres élèves, et le partage de compétence s’est révélé utile pour faire évoluer le projet. Nous avons pu échanger des compétences (de montage vidéo en particulier) contre des contacts utiles pour pouvoir répondre à notre problématique.
6) Quelles sont vos critiques et suggestions d’amélioration pour ce cours ?
Le système SKEMBANK était un bon système mais pas assez bien exploité : en effet, il était difficile de faire le tri parmi l’ensemble des offres mises en ligne. Le wiki est un bon système, extrêmement pratique. Cependant, le fait qu’il soit complétement ouvert pose des problèmes : il est possible pour n’importe quel groupe de supprimer ou modifier les textes et vidéos mises en ligne. De même sur Skem Bank, le fait que les mots de passes soient les mêmes pour tous les groupes entraine de abus de la part de certaines personnes.
Commentaire du professeur[modifier | modifier le wikicode]
Bonne mise en scène, bonne investigation. Ce qui est dommage, c'est que votre problématique ne questionne pas vraiment le Management.