L’Organisation d‘événements écoresponsable chez Sequoïa Évènements.
Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]
La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
Un événement étant par définition une manifestation ponctuelle, il n’est pas instinctif de l’inscrire dans une démarche de développement durable. La réalisation d’événements éco responsables reste rare et nécessite que les organisateurs réalisent que la somme des actions événementielles a une réelle influence sur l’environnement.
A lui seul le Tour de France a entraîné jusqu’à une tonne de déchets par km, ou encore une tournée de concerts, par exemple celle du groupe Tryo, a provoqué l'émission de 134 tonnes équivalent carbone (soit autant qu’une voiture qui parcourrait 3,3 millions de kilomètres).
Heureusement, certains organisateurs d’événements décident de prendre des mesures pour diminuer leur impact écologique. Si la notion d’éco responsabilité appliquée aux événements reste innovante, chacun à son échelle participe activement à sa démocratisation.
Dans quelle mesure une entreprise locale telle que Sequoïa événements influence-t-elle les personnes souhaitant créer des événements à les rendre éco responsables de manière récurrente ?
Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]
Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]
Nous tenons à remercier chaleureusement Cynthia Saint-Fleur Destailleur de Sequoïa Evenements, l’équipe d’Equi’terre Charlotte et Judith, ainsi que Laura Petrault, Alia Hajji, M. Zarweski et M. Lentel pour leur collaboration.
Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]
Dans quelle mesure une entreprise locale peut-elle influencer les personnes souhaitant créer des événements à les rendre éco responsables de manière récurrente ?
En 2013, le Jour du dépassement (date à laquelle les ressources pour cette année auraient été consommés) s’est situé le 20 Août 2013. Nous pouvons voir cette date arriver de plus en plus tôt à mesure que les années avances. Par conséquent, la question du développement durable et de la réduction de l’empreinte écologique doit être centrale dans nos sociétés.
L’organisation d’événements peut impacter fortement cette empreinte écologique, le Tour de France par exemple est fortement producteur de Co2 et de déchets. Dans une moindre mesure l’organisation d’évènements tels que des salons, forums, sont vecteurs d’utilisation abusive des ressources si ils ne sont pas encadrés par une volonté de limiter leur empreinte écologique. Or ces évènements sont un secteur vaste et en pleine croissance et qui nécessite donc d’être responsable. Les impacts, et donc par conséquent les défis soulevés par ce type d’évènements, sont énormes. Un exemple frappant est la possible organisation de la Coupe du Monde de Football 2022 au Qatar qui n’a pour l’instant pas choisi de respecter l’environnement (les stades seront notamment climatisés)..
Alors, comment influencer positivement les personnes désirant organiser des évènements (professionnels, privés, culturels.. ) à s’inscrire dans une démarche de développement durable et de respect de l’environnement ?
Au travers de nos rencontres durant la réalisation de notre reportage, nous avons pu voir que les réponses avaient tendance à converger, il est possible de réaliser des événements éco-responsables par exemple en limitant les déchets ou en se fournissant par le biais de producteurs locaux (supprimant par la même occasion l’impact écologique du transport de marchandises). Chacun peut, quand il décide de créer un évènement, faire la différence en décidant de s’orienter vers un événement respectueux de l’environnement. Dans cette optique, des entreprises de la région Nord-Pas-De-Calais développe des approches innovantes comme l’entreprise Séquoïa qui réalise tout type d’évènements pour entreprises et particuliers ou encore le Grand Palais de Lille qui a décidé d’instituer une politique « Bas Carbonne » pour ses salons et forums.
De plus, nous pensons que la société prend petit à petit conscience des enjeux liés au développement durable et répond favorablement lorsqu’un événement a pris des dispositions en faveur de la réduction de son empreinte écologique. La prise de dispositions peut donc servir l’événement en lui-même en lui donnant une meilleure image et, par conséquent, en attirant plus de personnes et en augmentant leur satisfaction.
Par conséquent nous pouvons voir que l’organisation d’événement éco-responsables peut être une solution d’avenir dans le secteur de l’organisation d’événements car il ne coute pas forcément plus cher et permet d’améliorer l’image d’un événement et donc son succès potentiel.
On peut alors se poser la question de comment développer l’enthousiasme autour de l’organisation d’évènements respectant l’environnement ? De plus en plus d’entreprises mettent en avant leur Corporate Social Responsabilty (CSR), mais comment inciter les gens à organiser de tels évènements au niveau privé ? Cette responsabilité de limiter l’impact environnemental des évènements publics, professionnels, culturels ou sportifs, incombe-t-elle à des entreprises comme Séquoïa, ou bien aux collectivités locales, à l’Etat ?
Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]
Question 1 : En quoi ce cours vous donne-t-il une nouvelle compréhension du business en général ? et plus largement de la société ?
Contribution de Claire DELTEIL : Je ne peux pas dire que ce cours a eu d’impact sur ma compréhension du business en général, ou sur ma vision de la société. Il m’a apporté des acquis plus concrets. Cependant, inscrire le sujet dans une démarche globale de développement durable était peu motivant (récurrent tous les ans) même si la mise en place du projet (wiki, banque de skems …) et sa concrétisation par une vidéos étaient des idées originales et innovantes.
Contribution de Marine GUEFFIER : Je ne pense pas que ce cours m’ait donné une nouvelle compréhension du business ou de la société en général. Cependant, ce cours nous permet d’aller voir des entreprises et de les interroger sur ce qu’elles font, et plus particulièrement en matière de développement durable. Pour autant, je trouve que la notion de développement durable limitait la problématique et les entreprises à interroger. J’aurai été plus intéressée par un sujet non concentré sur cette notion.
Contribution de Alexandre MASCIONI : Ce cours de sustainable performance m’a permis de découvrir des aspects du business avec lesquels je n’étais pas forcément familier, notamment la mise en place d’évènements écoresponsables. J’ai appris que ceux-ci n’était pas réellement plus cher, et qu’ils concernaient plutôt des entreprises soucieuses de l’environnement ou qui voulaient donner une image écoresponsable favorable à leur business. Au niveau de la société, cela m’a appris que beaucoup d’efforts restaient à faire. Les gens sont largement favorables à ce type d’initiatives, mais n’y pensent pas forcément. Un effort de prise de conscience, par plus de communication, serait peut-être nécessaire.
Contribution de xxx : Ce cours nous permet de mieux aborder le monde de l’entreprise en nous y confrontant directement. Les interviews que nous avons réalisés nous permettent de mieux comprendre quels sont les enjeux et les défis d’une entreprise. De plus cela nous donne un avis direct sur les mouvements actuels de la société.
Contribution de Arnaud QUEHEN-RIOJA : Le développement durable est un sujet souvent abordé dans la société actuelle, néanmoins il est montré du doigt par les grandes multinationales. De sorte que nous ne soupçonnons pas la portée grandissante qu’il prend aujourd’hui. Ce cours m’aura permis d’ouvrir les yeux et d’en voir l’étendue, même pour des petites entreprises telle que Sequoïa Evènements. Dans une plus grande optique, chacun des petits acteurs de la société apportent leur brique à l’édifice.
Contribution de Pierre-Antoine GUY : Tout d’abord en ce qui est de la vision du business, ce cours m’a apporté une vision nouvelle sur le futur et le développement du business. En ce qui concerne la société, il est possible de remarquer que les gens ne sont pas encore forcement au courant des pratiques de développement durable, surtout si ces techniques sont mises en place au sein de petite entreprise.
Question 2 : Qu’avez-vous le plus appris dans le cadre de ce cours ? Pouvez-vous formuler les compétences acquises ?
Contribution de Claire DELTEIL : J’ai beaucoup appris en consultant les articles du wiki portant sur la construction et la réalisation d’une vidéo. Intéressée par le sujet, j’ai pu me rendre compte que la construction d’un reportage était basée sur la même structure qu’une dissertation ou n’importe quel autre support nécessitant une problématique et des sous-parties. J’ai également appris des informations importantes sur la manière de tourner (les plans, les coupes… chacun devant illustrer un propos en particulier) et ce projet m’a permis de me remémorer l’utilisation de logiciels de montage.
Contribution de Marine GUEFFIER : J’ai appris le plus par le montage de la vidéo et notamment par les plans à réaliser mais aussi les coupes… Bien que ne soit pas moi qui ais monté la vidéo, j’ai pu me rendre compte du travail à accomplir et de la difficulté de ce type de montage. Pour réaliser une vidéo, cela demande beaucoup de travail de préparation (plans, temps de tournage, etc.)
Contribution de Alexandre MASCIONI : J’ai appris beaucoup de choses au niveau du secteur des évènements écoresponsables, comme expliqué dans la question précédente. C’est un secteur dans lequel énormément de choses reste à faire. C’est un secteur porteur car toutes les entreprises prennent conscience de l’importance de donner une dimension écoresponsable à leurs évènements (on peut voir cette prise de conscience à travers la CSR que toutes les entreprises développent). J’ai acquis des compétences à travers le travail de « démarchage » (pour trouver des entreprises qui acceptent de nous répondre), de journalisme (définition des questions à poser par exemple, mise en place et déroulement du tournage, montage de la vidéo).
Contribution de xxx : Ce cours nous a permis de développer nos compétences au niveau de la coopération interne et externe à la fois dans notre groupe et vis à vis des personnes extérieures. Faire appel à des contacts extérieurs sont réellement formateurs pour nous malgré qu’ils ne soient pas toujours faciles. Ils nécessitent une stratégie de communication envers eux. Enfin nous avons appris à monter des vidéos (pas forcément toujours avec succès) ce qui fut formateur.
Contribution de Arnaud QUEHEN-RIOJA : J’ai appris à avoir un plus grand respect du développement durable et à en comprendre les vrais aspects.
Contribution de Pierre-Antoine GUY : Ce cours m’a appris le travail en équipe, le partage. Les compétences acquises au sein de se cours sont pour moi plus des compétences journalistiques et d’investigations, ainsi que de montage vidéo.
Question 3 : Comment avez-vous vécu cette nouvelle expérience d’apprentissage ? De qui avez-vous le plus appris (de vos pairs ? de l’interviewé ? de vos profs ?...)
Contribution de Claire DELTEIL : Cette expérience d’apprentissage était motivante au début, de part tous les efforts mis en place pour bénéficier d’une structure et rendre un projet original à la fin. Cependant je pense qu’au même titre que le Business Game ce projet devrait être réalisé sur une semaine non entrecoupée de cours ou de partiels. J’ai le plus appris du wiki et des documents mis en place et ensuite des informations des professeurs (notamment grâce aux vidéos inter-campus).
Contribution de Marine GUEFFIER : Cette nouvelle idée d’apprentissage nous permet d’être davantage impliqué dans le cours en réalisant un projet telle que la rencontre avec une entreprise et le montage d’une vidéo ensuite. Sur le wiki, il y avait beaucoup de liens et de vidéos pour nous apprendre à bien réaliser une vidéo (plans, coupes) ce qui nous a notamment aidé pour le montage ensuite.
Contribution de Alexandre MASCIONI : Cette expérience était très enrichissante car nous étions en interaction avec différents acteurs : le groupe de travail, les professeurs, et les interviewés. Le travail de groupe était très important. Nous alternions les réunions collectives et le travail personnel, ce que nous a permis d’avoir une bonne dynamique et d’avancer de manière efficace. Le contact avec une professionnelle de ce secteur était la chose la plus intéressante car cela m’a appris beaucoup sur le fonctionnement de l’organisation.
Contribution de xxx : Nous avons vécu cette expérience d’apprentissage de façon formatrice car nous étions essentiellement seuls pour atteindre notre but, ce que je trouve intéressant. Cependant le manque de temps fut regrettable car nous devions avoir un projet très précis dés le début alors que ce n’était pas forcément le cas. J’ai beaucoup appris de mes pairs dans cet exercice, notamment dans le montage de la vidéo car j’avais peu de connaissances dans ce domaine. L’aide donnée par notre professeur référent fut aussi appréciée.
Contribution de Arnaud QUEHEN-RIOJA : C’est une expérience intéressante. Il nous est donné de contribuer à l’élaboration d’un article sérieux sur une cause juste, et de pouvoir apporter son propre point de vue. Mon plus grand apport est certainement celui des articles fait par les étudiants eux-mêmes car il explique un point de vue propre à chacun et apporte des explications différentes selon qu’on est pour ou contre le développement durable ; tous les aspects y sont traités et pas seulement celui du professeur.
Contribution de Pierre-Antoine GUY : J’ai vécu cette expérience comme quelque chose de nouveau, une chance quelque part de pouvoir sortir du cadre normal des cours traditionnels. J’ai appris l’importance du développement durable au cœur de la société si on veut que celle ci perdure.
Question 4 : A quel pourcentage estimez-vous avoir utilisé les ressources du wiki et les liens associés (inférieurs à 25%, entre 25 et 50%, entre 50 et 75%, au delà de 75%) ? Qu’est-ce qui a été le plus utile pour vous ? si faible utilisation, pourquoi ?
Contribution de Claire DELTEIL : Le wiki étant très complet, je n’ai pas consulté tous les articles, j’évalue donc mon utilisation à 50-75% car ces documents nous ont servis de fils conducteur et de points de référence tout au long du projet. Les articles méthodologiques (portant sur la problématique, les rôles de chacun, l’utilité d’une vidéo…etc.) ont été d’une grande utilité pour remplacer un encadrement professoral. Et les vidéos associées aux articles (vidéos sur le montage par exemple) étaient utiles pour découvrir de manières ludiques des techniques. J’ai cependant peu utilisé la grande liste de liens dirigeant vers des sites en anglais portant sur le développement durable en général car ils représentaient beaucoup d’informations à traiter en peu de temps et étaient assez démotivants.
Contribution de Marine GUEFFIER : Pour ma part, je pense avoir utilisé entre 25 et 50% les ressources du wiki et des liens associés. Nous avons consulté en partie les liens associés pour établir au mieux notre problématique et son orientation (stratégique, marketing, ressources humaines, etc.). Le wiki nous a été aussi très utile pour les plans à prendre, le tournage de la vidéo grâce à toutes les explications fournies mais également aux différentes vidéos disponibles sur le wiki.
Contribution de Alexandre MASCIONI : Je pense avoir utilisé les ressources du wiki à environ 25%. En effet, je n’étais pas jardinier. J’ai consulté quelques liens et quelques articles que l’on trouvait sur le wiki. Pour le reste, je me concentrais plus sur le travail que nous avions à faire.
Contribution de xxx : J’ai utilisé les ressources du wiki entre 25% et 50% car je n’étais pas jardinier et je trouvais la plateforme difficilement accessible. En effet les informations nécessaires à la réalisation de notre vidéo n’étaient pas indiquées clairement selon moi. Mon role en tant qu’intermédiaire entre les entreprises et moi prenaient la plupart de mon temps et ce n’était pas mon activité principale au sein du groupe.
Contribution de Arnaud QUEHEN-RIOJA : Je pense avoir utilisé le site au delà de 75% en qualité de jardinier du groupe. Chaque étape était importante à respecter et le plus utile fut l’explication apportée pour l’élaboration de chacune des étapes du processus de production.
Contribution de Pierre-Antoine GUY : Inférieur à 25%, seul le jardinier avait un accès total au wiki selon moi et donc je ne m’occupais pas de ça. Néanmoins le wiki reste quand même une chose positive qui permet de coordonner le travail.
Question 5 : Ce cours a-t-il eu une influence sur vos pratiques collaboratives intra et inter groupes dans le cadre d’un projet comme celui-ci ? Quel a été l’apport de la bourse de compétences ? Comment les compétences ont-elles circulé ?
Contribution de Claire DELTEIL : Non, ce cours n’a pas eu d’influence sur les pratiques collaboratives même si nous en avions compris l’intérêt de départ. Cependant nous demander de monter une vidéo sans nous fournir le matériel adéquat n’était peut-être ni le plus équitable, ni le plus judicieux. Il aurait été amusant de pousser le jeu plus loin en distribuant à chaque équipe des équipements ou des atouts dont ils auraient été responsables et qu’ils auraient échangé. La bourse de compétence était donc difficile à utiliser car pour la plupart, nous n’avions pas de compétences supplémentaires à échanger par rapport aux autres. Le fait que l’échange de skems soit comptabilisé de manière importante dans la note, comme il l’a été rappelé à plusieurs reprises, nous a donc obligé à trouver des choses à échanger, sans grande conviction avec d’autres groupes. L’idée est bonne et les structures sont posées, peut-être manque-t-il au même titre qu’un vrai jeu simplement des choses à échanger.
Contribution de Marine GUEFFIER : Ce cours demande une forte implication des membres du groupe pour réaliser un projet comme celui qui nous était demandé. Cependant, comme dans la plupart des groupes, tout le monde ne s’investissait pas de la même manière. La bourse de compétences n’est pour moi pas indispensable car les personnes n’ont pas besoin d’une monnaie virtuelle pour s’échanger des compétences. Cela se fait tout naturellement par le biais des associations ou de nos relations. Le fait que l’échange des compétences soit comptabilisé dans la note, les groupes se sentaient forcés de trouver des compétences qui n’avaient pas grand chose à voir avec le cours ou alors pas très utiles.
Contribution de Alexandre MASCIONI : Bien entendu, ce cours étant un travail de groupe, nous avons dû instaurer des pratiques de travail. Nous nous sommes notamment divisés les tâches de manière efficace, puis nous nous réunissions pour faire le point et définir les prochains objectifs, mais cela était déjà ma manière de travailler en groupe en général. La bourse de compétence s’est avérée utile. Les compétences ont circulé de manière plutôt efficace entre les groupes.
Contribution de xxx: J’ai été pour ma part banquier et ait contacté les différentes entreprises pour réaliser les interview. Ce cours m’a donc aidé à mieux comprendre les complexités qui existent dans un groupe. En ma qualité de intermédiaire j’ai du utiliser les différents contacts de la banque skems et ce fut par conséquent très utile.
Contribution de Arnaud QUEHEN-RIOJA : A l’inverse des autres projets de groupe qu’il m’ait été donné de faire dans le cadre de mes études, celui-ci est plus innovant car complètement différent de ce que nous avons déjà pu faire. Les pratiques collaboratives restent néanmoins les mêmes que pour tout autre projet, quant à l’organisation au sein du groupe. Au niveau des compétences acquises, je sais désormais gérer une page wiki et grâce aux aides apportés par les professeurs dans cet exercice, les autres membres du groupe sont dans la capacité de faire de même.
Contribution de Pierre-Antoine GUY : En ce qui concerne la collaboration au sein même de mon groupe, ce cours n’a rien changé puisque en école de commerce les travaux de groupe sont une habitude. Par contre au travers de la bourse de compétence nous avons pu apprendre à collaborer avec d’autres équipes, même si cette collaboration n’est pas gratuite.
Feedback final du professeur[modifier | modifier le wikicode]
Mise en tension bien expliquée dans le plantage du décor. Le reportage est bien structuré, mais reste trop descriptif. Il n’y a pas assez de lien avec la dimension managériale. Il me manque une conclusion et des recommandations, qui ne sont pas du tout présentes dans votre reportage et sont légères dans votre article journalistique.
Le scénario reste assez simple, manque d’originalité et de dynamisme, cela est trop statique. Le montage est propre.